21 mars 2018
"Les réseaux sociaux continuent à relayer les appels à des attaques physiques contre le journal, le forçant parfois à porter plainte. Derrière l’anonymat du clavier et du pseudonyme, on trouve des militants d’extrême droite, mais surtout ceux qui se rêvent en vengeurs d’une religion, l’islam, que "Charlie" détesterait.
"[…] "Y’a des rebeux qui répondent pas aux salam, esquive la religion, sont Charlie et ils me disent "on me dit francisé parce que j’ai fait des études". Baisez vos mères un peu." […]".
Voir aussi dans la rubrique "Trois ans dans une boîte de conserve" (Charlie Hebdo, 3 jan. 18) : "Trois ans dans une boîte de conserve" (Une de Charlie Hebdo, 3 jan. 18), Riss : "Liberté d’expression, combien ça coûte ?" (Edito, Charlie Hebdo, 3 jan. 18), F. Nicolino : "Ce que ces trois années ont vraiment changé" (Charlie Hebdo, 3 jan. 18), Menaces contre Charlie : l’islam pour les sous-doués (J.-Y. Camus, Charlie Hebdo, 3 jan. 18), G. Biard : Charlie, "Blindé ou plombé, il faut choisir" (Charlie Hebdo, 3 jan. 18), Charlie : "La complainte du reporter en conditions de sécurité maximale" (A. Fischetti, Charlie Hebdo, 3 jan. 18), P. Lançon : "Les anges gardiens" (Charlie Hebdo, 3 jan. 18), "Sécurité à Charlie : ça pourrait être pire !" (Charlie Hebdo, 3 jan. 18), K. Bennoune : "On refuse de donner la parole aux musulmans qui luttent contre l’islamisme" (Charlie Hebdo, 3 jan. 18) (note du CLR).
Comité Laïcité République
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