10 mai 2019
[Les articles de la revue de presse sont sélectionnés à titre informatif et ne reflètent pas nécessairement la position du Comité Laïcité République.]
"Infiltrées par les syndicats d’étudiants, noyautées par des groupuscules « indigénistes », paralysées par la lâcheté de la hiérarchie de l’enseignement supérieur, les facultés et certaines grandes écoles sont aujourd’hui le théâtre d’un bras de fer idéologique. Les pressions et menaces y sont fréquentes et tous les coups semblent permis."
" [...] Abel, 18 ans, qui se destine à Normale sup. Il s’est inscrit dans la filière Humanités. La première année du CPES se déroule à Henri-IV, dont les prépas se classent parmi les meilleures de France. Et qu’apprend-on dans ce temple du savoir, au gré des cours d’« histoire globale » ou de « sociologie des inégalités » ?
« Qu’il existe un racisme d’Etat, qu’il faut déblanco-centrer et déseuropéano-centrer l’histoire, que la statuaire grecque est essentiellement phallocratique ou, encore, que les tableaux de la Renaissance italienne sont marqués d’un genrisme patent », raconte Abel, qui n’en est toujours pas revenu. […]
Une fois passés les très sélectifs concours de Normale Sup, Sciences Po, l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS), HEC ou même Polytechnique, l’endoctrinement continue. […]"
Lire "Islamo-gauchisme, décolonialisme, théorie du genre... Le grand noyautage des universités"
Voir aussi "Le « décolonialisme », une stratégie hégémonique : l’appel de 80 intellectuels" (Le Point, 29 nov. 18), Université de Limoges (note du CLR).
Comité Laïcité République
Maison des associations, 54 rue Pigalle, 75009 Paris
Voir les mentions légales