3 mars 2018
"Simone Weber, Violette Nozière, Diamanta ou Bandia… Elles nourrissent la chronique judiciaire. Les filles empoisonnent, sortent le flingue ou découpent à la meuleuse, pour l’argent, par amour ou par devoir.
[...] La tueuse agit le plus souvent par intérêt, rarement sans raison, sauf coup de folie. Quand elle passe à l’acte, on s’empresse de lui coller un qualificatif pour mettre de la distance. [...]"
Comité Laïcité République
Maison des associations, 54 rue Pigalle, 75009 Paris
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