27 octobre 2019
[Les articles de la revue de presse sont sélectionnés à titre informatif et ne reflètent pas nécessairement la position du Comité Laïcité République.]
"[…] L’inquiétude des pouvoirs publics porte notamment sur les intervenants en marge de l’école. Régulièrement accusés d’encourager le communautarisme, les enseignants de langue et culture d’origine (Elco) sont une nouvelle fois objet de réflexion au ministère de l’Education nationale. […] A l’école primaire, ce sont les animateurs périscolaires qui attirent l’attention par leur prosélytisme. […] Parfois, ce sont les pions qui jouent le rôle de "surveillant général" de la pratique religieuse […].
Au final, regrette Rémy-Charles Sirvent, secrétaire national du SE-Unsa et secrétaire général du Comité national d’action laïque (Cnal), "le grand absent est l’intérêt des enfants et le droit qu’on leur reconnaît ou non à être éduqués dans un cadre neutre. La liberté de conscience des enfants et des adolescents en construction dont nous avons la charge est pour nous plus importante que la liberté de culte des adultes." […]"
Lire "À l’école, ces petits et grands accrocs à la laïcité".
Voir aussi L’Express : "L’école est-elle encore laïque ?" (23 oct. 19), le Colloque du CLR "L’Ecole laïque : émancipation et citoyenneté" (Paris, 14 déc. 19), “Rapport Obin” : Les signes et manifestations d’appartenance religieuse dans les établissements scolaires (juin 04), dans la Revue de presse les rubriques Ecole, La Turquie d’Erdogan en France (note du CLR).
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