par Claude Vaillant, avocat. 14 avril 2019
Après l’affaire du film La Religieuse, on savait que les relations entre les affaires de justice et celles de la religion pouvaient être problématiques, que ce soit par le biais de la censure ou par la sanction d’une "atteinte à la foi du croyant" en dépit du principe affirmé par la Constitution.
Le but de cette étude est de retracer le parcours qui pourrait être, en l’espèce, qualifié de « chemin de croix », notamment par ceux qui ont eu la charge de plaider dans ces affaires au nom des principes qui sont chers au CLR.
Voir aussi le communiqué du CLR Délit de blasphème (21 mars 05), Le Comité des droits de l’homme de l’ONU contre la République (Collectif laïque national, 24 oct. 18), Voile : la France ne reconnaît pas l’article sur lequel s’appuie le Comité des droits de l’homme de l’ONU, dans la Revue de presse les rubriques Le voile intégral et le "Comité des droits de l’homme" de l’ONU et Baby-Loup et le "Comité des droits de l’homme" de l’ONU dans Voile dans une crèche, A.-M. Le Pourhiet : "Soumission à la Cour de cassation" (Causeur, nov. 18) (note du CLR).
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